Pendant les 33 dernières années, tous les matins, en me regardant dans la glace, je me suis demandé : « Si je devais mourir demain, est-ce que j’aurais envie de faire ce que je vais faire aujourd’hui ? » Que « non » revienne trop souvent, et je savais que le moment était venu de faire bouger les choses... Tout ou presque – les attentes des autres, l’orgueil, la peur de la honte ou de l’échec –, toutes ces choses disparaissent face à la mort. Seul demeure ce qui est vraiment important. Se souvenir que l’on va mourir est le meilleur moyen de ne pas céder à la tentation stupide de croire que l’on a quelque chose à perdre.
[ Steve Jobs ]