C'est une bien étrange découverte qu'ont faite récemment Lee Cantrell et ses collègues de l'université de San Diego (Californie) en analysant le contenu de huit médicaments retrouvés chez un pharmacien qui avaient expiré depuis 28 à 40 ans. Ils ont montré que les principes actifs de ces produits étaient en majorité toujours présents en quantité acceptable. Mais, attention, ce n'était pas le cas de ceux contenant de l'aspirine ou une amphétamine. Leur travail, qui vient d'être publié dans les Archives of Internal Medicine, pourrait inciter les autorités à revoir la pratique actuelle de détermination de la date d'expiration.
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